The urban sprawl debate: Myths, realities and hidden agendas
Abstract
This paper argues that the intense antisprawl
rhetoric focused on suburban residential
growth, especially in Toronto, is
misplaced, and is driven largely by implicit
agendas other than the effective management
of urban development. The paper
makes three points. First, by conventional
definitions we have little sprawl, but
rather extremely rapid population growth,
which we have a collective obligation to
accommodate. Second, the principal
source of decreasing suburban densities is
not the residential sector but low-density,
non-residential uses. Residential densities,
in contrast, have been increasing, especially
dwelling-unit density. Third, the
other major problems are the lack of coordination
between residential and non-residential
activities, and the weak integration
of both with transit
provision. Le discours alarmiste concernant l'expansion
des banlieues, particulièrement dans
la région de Toronto, est le résultat de
préoccupations ambiguës plutôt que d'un
souci d'efficacité en gestion urbaine. Tout
d'abord, dans le sens strict, il s'agit d'une
croissance très rapide de la population, que la collectivité doit assumer, plutôt que
d'une expansion tentaculaire urbaine.
Ensuite, le secteur résidentiel n'est pas un
facteur d'une suburbanisation décroissante
autant qu'une utilisation non résidentielle,
à faible densité, des espaces disponibles.
La densité des secteurs résidentiels, plus
particulièrement des unités résidentielles, a pour sa part augmenté. Enfin, la faible
intégration des activités résidentielles et
non résidentielles et les lacunes en ce qui
concerne le transport urbain représentent
des obstacles majeurs.